Jo et Gérald partent pour Kona, il faut rendre le bus, prendre un 4x4, aller chercher Pascal à l’aéroport et aller faire des courses. Pascal arrive malheureusement sans ses bagages

Une équipe de 10 personnes, Rosemarie, Robin, Justine, Florian, Jean-Paul, Sylvain, Jérôme, Karine et Steph partent pour une visite du tube de lave de Kanohina connu sur 35 km. C’est Don Coons qui les guide pendant cette visite de 4 heures.

Vincent, Ludo, Alf, Deb, Christian partent faire de la spéléo sur une coulée où Gérald a repéré des skylights sur Google Earth et par avion. Nous allons chercher le skylight supérieur des trois pointés par Gérald et Rosemarie au GPS. Nous quittons le chemin qui mène à la Red Hill Cabin pour la direction indiquée par le GPS. Nous sortons du Par et nous allons tout droit à l’objectif. Nous traversons plusieurs tranchées de lave AA. En une heure et demi, nous arrivons sur l’objectif. En quelques minutes nous trouvons trois skylight. Le plus facile des trois et le plus beau aussi, est rapidement descendu. Nous commençons la pointe et la topographie dans la partie aval du tube. Les dimensions du tube sont grandes et à peine nous le prenons que nous voyons déjà le skylight suivant. Nous y trouvons de très nombreux squelettes de chèvres dont un avec un collier émetteur. Nous prenons les coordonnées GPS du tube et nous continuons la pointe et la topographie. Dans certaines parties du tube, nous sommes sur des blocs d’effondrement et dans d’autres parties sur de la lave de coulées plus récentes. Avant la fin qui se termine sur une étroiture avec courant d’air qui pourrait être désobable avec une baramine, nous sommes sur de la lave AA avec un plafond bas très concrétionné.

 

L’équipe spéléo composée de Jo, Vincent Ludo et Alf part à nouveau pour la coulée de la veille. Cette fois, nous visons le bas de la coulée. Nous nous arrêtons sur un parking intermédiaire et nous suivons un chemin indiqué sur la carte. Rapidement nous tombons sur un chemin qui est un chemin pour le maintien de la ligne électrique. C’est la direction du trou ou presque. Nous parcourons les 5 kilomètres qui nous séparent du skylight en une heure et quart. En fin de route nous tombons sur un petit skylight qui ressemble assez à une décharge. Nous l’équipons d’une échelle et nous partons à l’amont. Nous passons par un second skylight d’où partent deux galeries en aval et une galerie en amont. Nous continuons à remonter. Arrivés à l’endroit où cela pince, nous commençons la topographie à la descente. Arrivés au premier skylight après environ deux cents mètres de topographie, nous trouvons une boîte d’échantillonnage. Un peu dépités, nous nous décidons pour la visite, pas certains d’être dans du nouveau. Les galeries se séparent plusieurs fois, nous nous arrêtons chaque fois sur des rétrécissements. Nous ressortons et rentrons aux bercailles.
Nous testons cette fois Jack’s diving locker. C’est plus cher, mais plus pro. Nous louons 6 bouteilles et ceintures de plombs pour 24 heures et nous faisons 2 plongées dans la journée. Le tout pour 100 dollars. Ils nous conseillent un site qui s’appelle Manta point avec leur autre magasin juste à côté. Nous effectuons donc une première plongée avec le chant des dauphins et nous pouvons tous voir une magnifique raie aigle. Nous changeons nos bouteilles à pieds depuis la plage au magasin de Jack, qui est à 200 mètres. Puis la seconde plongée est plutôt accompagnée du chant polyphonique des baleines et nous verrons aussi la raie aigle. Plusieurs fois même, est-ce la même ou une autre, nous n’en sommes pas sûrs.

 

Toute l’équipe a RDV à 9h30 chez AVIS pour le changement de voiture de locations. Nous passons à des véhicules plus grands et moins chers. Nous ne sommes plus en haute saison touristique. Avec Jo, nous sommes passés chez Jack chercher 6 nouvelles bouteilles. Nous passons une heure chez AVIS et puis nous sommes partis pour la grotte de Pele Water Cave. Il s’agit d’un tube de lave d’environ 80 mètres qui bute sur un siphon. Nous arrivons en un portage à amener tout le matériel pour la plongée vers l’entrée du tube. Ensuite alors que certains vont à la plage à quelques mètres, nous effectuons les allers retours pour le siphon. Nous équipons les scaphandres. Il est prévu que Jo et Alf partent en en déroulant le fil le plus loin possible et fassent la topographie du tube. En fait Jo déroule le fil, Alf l’éclaire, Christian fait un second éclairage et Gérald filme. Nous allons comme cela sur environ 100 mètres jusqu’à une étroiture. Gérald et Christian font demi-tour et Alf et Jo continuent sur le dévidoir de secours de Jo. Nous arrivons au bout du dévidoir, mais pas au bout du tube. Ce qui est aussi intéressant dans ce tube, c’est le passage de l’eau saumâtre à l’eau de mer. L’eau est plus chaude et plus salée à quelques mètres de l’entrée. Le brassage de l’eau rend la zone floue pendant quelques temps. La topo est faite au retour et nous confions notre matériel à quatre nouveaux plongeurs : Ludo, Vincent, Fred et Pascal. Ils vont aussi jusqu’à l’étroiture. Sur le chemin du retour, Vincent rembobine le dévidoir. Puis Robin et Sylvain se font plaisir un petit moment avec les bouteilles dans le canyon de l’entrée et c’est le tour de Jérôme et Stéphanie qui eux aussi feront quelques mètres dans ce canyon de lave. Tous les autres profiteront des éclairages et de la beauté du tube pour faire un peu de snorkeling dans le lac canyon. Une fois cela terminé, nous remballons notre matériel et certains partent à la plongée des raies mantas, une plongée de nuit célèbre dans l’île, pendant que d’autres partent rendre les blocs et rentrent à la maison. La route est longue et pleine de bouchons. Nous terminons la journée avec une super salade. L’équipe des raies mantas en a vu trois qui leur ont bien tourné autour. Ceux qui ont plongé et ceux qui ont fait du snorkeling sont satisfaits. Il y avait cependant beaucoup de plongeurs et de snorkeleurs, environ six bateaux.